The Lady

Encore une biographie? Que voulez-vous que je vous dise? Je trouve intéressant le point de vue que l’on peut donner sur la vie d’une personne avec un vécu atypique. Aujourd’hui, rendez-vous en Birmanie pour entrevoir la vie d’une femme qui prendra part à la politique de son pays natal.

Résumé: En 1988, Aung San Suu Kyi quitte Londres et sa famille pour revenir en Birmanie sous la demande de proches de son père, le général Aung San assassiné en 1947. Elle se retrouve à mener un combat politique non violent pour la liberté d’expression et la démocratie dans une Birmanie en proie à une dictature militaire oppressante et sanguinaire et poursuivre le combat de son père. Au cours de son combat, elle doit faire face à de nombreuses questions dont l’une est rentrée en Angleterre auprès de l’homme de sa vie, Michael Aris, atteint d’un cancer ou poursuivre le combat pour la démocratie dans son pays.

Les films de Luc Besson sont rarement mauvais en termes d’images et de scénario, de mon humble avis. Et cette fois encore, j’ai beaucoup aimé ce film. Michelle Yeoh est magnifique et son personnage est une force tranquille. Les images sont parfois dures et j’ai eu les larmes aux yeux à de nombreuses reprises. J’aime le message que véhicule une révolution sans violence qui est tout sauf évidente face aux armes pointées sur soi.

À quel point le récit de cette femme est-il véridique? Je vous laisse faire vos propres recherches pour en décider. Il y a certaines polémiques concernant la manière dont a agi Aung San Suu Kyi sur des événements non présents dans le film. Mon article n’a rien de politique et je ne rentrerais donc pas dans le débat. Néanmoins, cette histoire pourrait vous donner envie d’en savoir un peu plus sur la Birmanie, pays dont peu de personnes (moi y compris) connaissent l’histoire.

Un cookie mi politique mi birman?