Après une semaine de repos, on repart avec une histoire durant la seconde guerre mondiale. Habituellement, les récits sur cette période prennent place en Allemagne, Pologne, France, voir Haïti (Pearl Harbor)… Cependant, il est rare de voir le déroulement de ces jours funestes dans un pays tel que les Pays-Bas. Allons remédier à cela.
Carte du Film
- Titre: Le banquier de la résistance
- Sortie: 2018
- Durée: 2h03
- Réalisateur: Joram Lürsen
- Scénariste: Marieke van der Pol/Thomas van der Ree /Winchester McFly
- Musique : Merlijn Snitker
- Distribution:
- Barry Atsma : Walraven van Hall
- Jacop Derwig : Gijs van Hall
- Pierre Bokma : Meinoud Rost van Tonningen

Résumé: Les Pays-Bas sont occupés et chaque habitant se doit d’aider l’idéologie nazie. Néanmoins, des hommes et des femmes décident d’aider les Alliés dans l’ombre. Un homme en particulier, Walraven Van Hall, simple banquier, veut prendre les choses en main. Il convainc son frère de l’aider dans son idée, celle de créer une banque parallèle afin de financer la résistance. Commence alors la mise en place d’une organisation secrète aux rouages parfaitement bien huilés sous fond de méfiance, suspicions et espoir.
Alors… Je ne sais pas par où commencer. Commençons par la bonne nouvelle: le film est génial. Je suis un poil hyper empathique. La nervosité, le suspens m’a eu tout le long. Il a été très intéressant, car c’est une partie de l’Histoire que je ne connaissais absolument pas. Je pense que j’aurais été plus intéressée par l’enseignement des guerres mondiales à l’école si on nous avait fait par de petites anecdotes historiques comme celle-ci. La mention des Pays-Bas sur cette période a peut-être été mentionnée, mais alors, cela ne m’a laissé aucun souvenir. Alors qu’une anecdote sur Staline avec ma prof de latin, je m’en souviens encore. Mais ce n’est pas le sujet.
J’ai encore des recherches à faire quant à la véracité de toute cette histoire (car il s’agit d’une personne ayant bien existé), par contre, on ne peut pas retirer au film les émotions qu’il a su délivrées. Je l’ai regardé avec ma mère et je pouvais dire qu’on ne quittait pas l’écran des yeux. Pourtant, et juste pour information, nous avons toutes les deux la difficulté de nous contenter de regarder un film sans rien faire d’autre. Cela n’a pas été le cas ce soir-là. Ma nervosité était telle que je me demande si j’aurai pu faire part de la résistance tant la peur d’être découverte s’infiltre dans chacune de vos cellules.
Pour résumer, une histoire palpitante et stressante à regarder de suite.
Un cookie néerlandais?